Récupérer : une question d’âge!
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En vieillissant, la récupération se fait moins rapidement, mais attention : ça ne veut pas dire qu’il faut éviter de s’activer avec intensité! Voici plus d’info sur cette étape cruciale suivant l’effort.
Plus le corps vieillit, moins les muscles sont souples et plus les articulations sont tendues. La force et l’endurance s’en trouvent aussi affectées : l’échauffement s’avère encore plus important avant la pratique du sport.
Les athlètes plus âgés récupèrent mieux du cyclisme intense que d’une course tout aussi intense, qui cause plus de dommages musculaires. D’autres facteurs influencent aussi leur récupération, soit la forme physique globale et les facteurs génétiques.
ADN d’une bonne récupération
La récupération après l’entraînement dépend de plusieurs processus biochimiques, physiologiques et hormonaux pour démarrer la synthèse, la réparation et le remodelage des protéines musculaires et des tissus connectifs. Complexe, elle requiert une attention immédiate et pour les 24 à 72 heures suivant l’effort.
Peu importe l’âge, il est suggéré, pour bien récupérer, de s’offrir une journée de repos entre les entraînements.
De plus, une plus grande consommation de protéines (jusqu’à deux fois supérieure à la dose recommandée pour un adulte sédentaire) favoriserait la récupération chez les athlètes plus âgés.
Protéines au menu
Les produits laitiers faibles en gras, comme le yogourt et le lait, les œufs, les noix, le poisson et le poulet sont riches en protéines. À titre d’exemple, on retrouve :
– 9 g de protéines par tasse de lait
– De 10 g à 20 g de protéines par tasse de yogourt
– 6 g de protéines dans un œuf
– De 6 g à 8 g pour 28 g de poisson ou de poulet